Notre histoire commence avec une conviction simple
Les investisseurs méritent mieux que des rapports incompréhensibles et des données dispersées. Depuis 2018, nous bâtissons des outils qui transforment la complexité en clarté.
Comment tout a commencé
En 2018, trois analystes financiers se retrouvaient chaque semaine dans le même café de Cobourg. Chacun travaillait pour une firme différente, mais tous partageaient la même frustration.
Les clients posaient des questions simples. Où va mon argent exactement ? Mes placements correspondent-ils vraiment à mes objectifs ? La réponse demandait des heures de compilation manuelle.
Un soir de novembre, l'un d'eux a griffonné sur une serviette ce qui deviendrait le premier prototype d'Uradyne. L'idée était directe : automatiser ce qui prenait des jours pour le livrer en minutes.
Aujourd'hui, notre équipe compte 12 personnes. Nous travaillons avec plus de 200 conseillers financiers à travers le Canada et générons environ 15 000 rapports personnalisés chaque mois.

Ce qui guide notre travail au quotidien
Pas de grandes déclarations de mission. Juste trois principes qu'on applique dans chaque ligne de code.
Transparence absolue
Nos rapports montrent tout. Les frais réels, les performances brutes, les comparaisons objectives. Si un placement sous-performe, ça doit être visible au premier coup d'œil.
Simplicité technique
La finance est déjà assez compliquée. Notre interface ne devrait jamais ajouter à cette complexité. Un conseiller doit pouvoir générer un rapport complet en moins de trois minutes.
Amélioration continue
Chaque trimestre, nous publions de nouvelles fonctionnalités basées sur les retours directs de nos utilisateurs. Leur feedback dirige notre feuille de route produit.
Notre expertise en reporting d'investissements
Après sept ans à travailler exclusivement dans le domaine du reporting financier, on a développé quelques compétences assez spécifiques.
Notre plateforme agrège des données provenant de 47 institutions financières différentes. Chacune a son propre format, ses propres codes, sa propre façon de classifier les actifs. On harmonise tout ça automatiquement.
La partie la plus délicate ? Les calculs de performance ajustés au risque. Beaucoup de plateformes affichent simplement le rendement brut. Nous intégrons la volatilité, la corrélation des actifs, et même l'impact fiscal selon la province.
En 2024, nous avons traité plus de 2,3 milliards de dollars d'actifs sous gestion à travers notre système. Ça nous donne une perspective assez unique sur ce qui fonctionne réellement dans différents contextes de marché.
- Agrégation automatique multi-institutions
- Analyse de performance ajustée au risque
- Rapports conformes aux normes CRM2
- Visualisations personnalisables par profil client
- Intégration avec systèmes CRM existants
- Support technique en français et anglais

L'équipe derrière la plateforme
Une douzaine de personnes qui prennent le reporting financier peut-être un peu trop au sérieux.

Geneviève Larochelle
Directrice technique
Geneviève a passé huit ans chez un courtier en ligne avant de nous rejoindre en 2020. Elle connaît les systèmes bancaires de l'intérieur et sait exactement pourquoi certaines intégrations sont si difficiles à réaliser.
Elle dirige notre équipe de développement et passe environ la moitié de son temps à optimiser les performances de nos algorithmes d'agrégation. L'autre moitié ? À discuter directement avec les équipes techniques des institutions financières pour améliorer nos connexions.
Son obsession actuelle : réduire le temps de génération d'un rapport complet sous les 45 secondes, même pour les portefeuilles contenant plus de 200 positions.

Ce qu'on prépare pour 2025
Notre feuille de route pour les 18 prochains mois est déjà bien remplie. En juin 2025, nous lancerons notre module de projection financière. Il permettra aux conseillers de montrer l'impact de différents scénarios de retrait ou de contribution sur un horizon de 30 ans.
À l'automne 2025, nous déploierons notre système d'alertes intelligentes. Si un portefeuille dérive significativement de sa cible d'allocation, le conseiller reçoit une notification avec des suggestions de rééquilibrage concrètes.
Et nous travaillons sur quelque chose de plus ambitieux : une API ouverte qui permettra à d'autres développeurs de bâtir des outils complémentaires. Nous croyons que l'écosystème fintech canadien bénéficierait d'une infrastructure de reporting plus accessible.
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